Trois kin de lin (2)
à tes lèvres imbibées
un noyau bondit
puis la robe à la gorge
soulagée et fugitive
à la fenêtre on explique
un goutte à goutte un écœurement
le réflexe offensif la panique
à dentelles le parfum des méduses et
au centre d’un vieux moulin
les flammes et les frissons retenant
je ne sais où l’entendement
battements et brasses en contre plongée
la masse s’ausculte la pâte d’extase bestiale
se supposent et se tendent
en amples poses
les antipodes de corps remplis de oooh aah !